Ce matin je tombe sur ce bouquin d'Anaïs Nin.
Un extrait de la 4e de couverture :
Ce volume, qui couvre les années 1932-1934, s'achève sur la maternité avortée : on y apprend enfin l'identité du père de cette petite fille mort-née que sa mère n'avait jamais désirée, y voyant un obstacle à la seule création qui lui importait : la littérature.Est-ce que toutes les femmes illustres ont dû sacrifier la maternité pour atteindre la grandeur, le sommet de leurs possibilités ? Je trouve ce constat plutôt triste ce matin.
Sorcha xx
2 commentaires:
ont-elle nécessairement sacrifiée la maternité?
Pour ces pauvres petits bébés qui sont nés, malheureusement non. On dirait que la grande carrière rime avec enfants laissés aux nounous, c'est triste, alors tant qu'à ça aussi bien pas en avoir.
Personnellement, je trouve que les plus intelligentes se sont abstenues d'en avoir ;)
Je suis bien d'accord avec toi, tant qu'à faire des enfants et à agir comme si elles n'en avait pas, autant ne pas en faire. Cependant, est-ce vraiment si incompatible, maternité et grandeur ?
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